#Geneathème 2024: 24 comme 24 rue Harouys
Geneathème 2024
24 comme 24 rue Harouys
Impossible de vous proposer un article sur mon Sosa 2024 car c’est une branche de ma généalogie totalement inexplorée et je n’ai aucune idée de son identité.
Mon Sosa 20, c’est Ignace Rudler dont j’ai parlé lors du challenge AZ à la lettre W comme Willer sur Thur.
Mon Sosa 24 est Pierre Mangou (1818-1897) mais je n’ai pas beaucoup de traces de lui.
Par contre je peux m’intéresser au nombre 24 car la maison de mes parents était située au 24 rue Harouys à Nantes.
Le 24 est une impasse comme il en existe tant à Nantes. Officiellement, elle porte le nom d’ « Impasse de la Nobilière »
La Nobilière est aussi le nom de la maison et pourtant elle n’a jamais rien eu de noble et n’a jamais été un château.
Quelle est l’origine de ce nom, je ne sais pas.
Mes parents ont acquis cette maison en novembre 1959 et nous y avons emménagé en juin 1960. J’avais 11 ans.
Pour ma sœur et moi c’était le paradis : une maison et un jardin de 350 m2 en plein centre ville et à 5 minutes à pied du Lycée Guist’hau où nous étions scolarisées et où ma mère était Professeur.
La maison avait beaucoup de charme en raison de la tour et des vitraux.
La tour, un ancien moulin, servait d’escalier.
Les fenêtres de l’escalier de la tour et des pièces du rez-de-chaussée étaient composées de vitraux.
La maison a été vendue fin 2010 après le décès de ma mère. Cela faisait 50 ans qu’elle y habitait.
En route pour la visite.
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1960
2004
Quelques photos de l’escalier de la tour qui se déroulait sur 3 étages :
Le dernier au niveau du grenier
Les 2 autres desservait des chambres
Et entre le premier étage et le rez-de-chaussée un tapis.
Mais un autre escalier que nous appelions « le petit escalier » avait été créé entre la cuisine et le premier étage.
Enfants, ma sœur et moi l’utilisions des dizaines de fois par jour.
Ma grand-mère le détestait.
A la fin de sa vie, ma mère l’utilisait en descendant à reculons.
Sous l’escalier, un placard pour les produits ménagers
Un des charmes de cette maison était la présence de vitraux sur les fenêtres : celles de l’escalier et celles de la salle à manger et de la porte d'entrée.
Désormais, ils ont tous disparus, remplacés par des vitrages modernes, plus isolants sans doute mais sans âme.
Ma chambre où j’ai vécu mon enfance et mon adolescence et après mon mariage quand nous revenions Nantes.
Ce qui a été formidable, ce fut l’existence d’un jardin.
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Ma mère dans son jardin en 1997 et dans son salon en 2000
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NB : quand nous avons vidé la maison pour la vendre, ma fille Marie a photographié toutes les pièces en allant du haut vers le bas. Cela nous a permis d’avoir une vision globale de la maison, de ses trésors. 13 ans après, c’est un témoignage précieux